Je reprends ici le gros article « Ce que tu dois savoir pour accoucher facile », mais en le fractionnant par thème pour celles ou ceux qui n’auront pas le courage de tout lire.
Comment se défaire des peurs pendant la grossesse :
La PRÉVENTION est le maître mot.
Une grossesse se prépare, comme on se prépare à son accouchement, on se prépare à sa grossesse.
C’est tellement normal. Est-ce qu’il nous viendrait à l’idée au vingt et unième siècle de ne pas expliquer à nos filles, bien avant leur puberté, ce que sont les menstruations, les « règles » ?
C’est totalement inenvisageable, toute maman va donner des explications à sa fille avant qu’elle ne devienne pubère, ou du moins elle va essayer.
Et si c’est un sujet qui la met terriblement mal à l’aise, alors elle va demander à une tante, marraine, ou grand-mère de remplir ce rôle.
Mais une chose est sûre, elle ne laissera jamais sa fille dans une telle ignorance au risque de la traumatiser, le premier jour de ses règles, devant ce sang rouge, comme une blessure, qui coulera entre ses jambes.
Toute maman ou presque prend le temps d’expliquer tranquillement à sa fille ce qu’il va lui arriver de façon à ce qu’elle ne soit pas effrayée.
La petite jeune-fille ainsi avertie vivra beaucoup mieux l’événement.
Alors, mon Dieu, pourquoi sommes-nous si négligentes vis-à-vis de la grossesse !!!
Il faut parler de la grossesse avant d’être enceinte :
Les changements hormonaux, particulièrement pendant le premier trimestre, sont bouleversants accompagnés d’importantes transformations de notre corps.
Comment se fait-il qu’on parle si peu de la grossesse à une femme avant qu’elle soit enceinte.
Une fois que le fait est établi, alors oui on va en parler et encore tardivement.
Beaucoup de choses seront découvertes au cours de la préparation à l’accouchement, souvent au troisième trimestre, un peu tard non !!
Et comme son nom l’indique, ce sont plus des cours sur l’accouchement que sur la grossesse, or tant de questions se posent dès le premier trimestre.
Les réponses gagneraient à être connues, car elles rétablissent le calme et la sérénité, mais dans l’idéal, les réponses devraient être connues par les futures mamans avant même leurs grossesses.
Ainsi, comme toutes choses connues et comprises en amont, lors de leur survenue au cours d’une grossesse elles seraient tellement mieux acceptées et ainsi dépassées !!
Communiquer avec son compagnon ou sa compagne reste essentiel :
Parler avec ton compagnon ou ta compagne de tous les maux décrits dans le premier paragraphe avant même de concevoir un bébé, crois-moi, te permettra d’éviter nombre de malentendus, incompréhension, quiproquos.
Évoquer ensemble, toutes tes craintes concernant les répercussions sur votre vie de couple, vie sexuelle y comprise, vous permettra à tous (tes) les deux de mieux vous comprendre et de dépasser rapidement ces difficultés communes à quasi tous les couples en début de grossesse.
La vie en société reste importante voire indispensable :
En ce qui concerne ta vie en société, tu adaptes tes souhaits en fonction de ton bien-être, de ton ressenti.
Il est vrai qu’il existe un interdit total pour l’absorption d’alcool, mais rien ne t’empêche quand tu sors pour le plaisir d’être avec tes amis (es), de prendre des boissons non alcoolisées.
Une chose est certaine, tu ne dois pas vivre ta grossesse comme un handicap qui te place en marge de la société.
Mais plutôt comme un phénomène passager qui nécessite de prendre certaines précautions.
Savoir que tu feras peut-être partie des nombreuses femmes qui vomissent tous les matins, parfois plusieurs fois par jour, ne t’exemptera pas.
Mais par contre cela te permettra de prendre du recul et de savoir que c’est normal, c’est déjà ça, tu ne te croiras pas malade !!
Découvrir ton histoire familiale de naissance :
Mais aussi, il me semble indispensable de faire une courte recherche qui ne te prendra pas beaucoup de temps sur ton « histoire psycho généalogique familiale de naissance ».
Grâce à ce petit travail, tu découvriras tout ce qui a été transmis dans ta famille de génération en génération, tout ce que tu as engrangé dans ton cerveau.
Tu découvriras peut-être de très belles histoires, auquel cas ce sera un véritable cadeau et tu pourras reproduire les yeux fermés.
Mais tu peux aussi te retrouver face à des expériences lourdes, difficiles, tristes et douloureuses.
Il faudra impérativement t’en éloigner pour ne pas tomber dans la répétition, de façon à désobéir à cette « loi familiale invisible » qui veut qu’on accouche mal et difficilement dans telle ou telle famille.
Il sera important dans les cas de tokophobie (peur de la grossesse et/ou de l’accouchement), d’entreprendre une thérapie et d’utiliser ce merveilleux outil qu’est la psycho généalogie qui t’aidera à faire la lumière sur ces peurs irrationnelles et à t’en défaire.
De fait il me semble tellement important d’avoir un véritable accompagnement global des parents.
Être accompagnée, pas à pas, t’apporter toutes les réponses aux questions que tu te poses, dès l’instant où tu te sais enceinte, voire même avant de concevoir si tu souhaites anticiper, est le meilleur moyen de vivre une grossesse sereine et de te défaire de ces angoisses.
Si tu as envie d’aller plus loin, c’est ce que je te propose dans mes différentes formations, te tenir par la main tout au long de ton chemin de naissance, de la conception jusqu’à l’accouchement.
Ah, au fait j’ai oublié de te dire un truc,
Voilà, beaucoup de mamans me demandent via les commentaires et messages privés, vers quel type de préparation à l’accouchement elles doivent se diriger
et j’ai du mal à répondre à chacune d’entre elles, à temps (quand j’y réponds), donc ça m’a donné l’idée de créer un petit quiz.
Dans ce quiz j’ai rassemblé toute les réponses aux questions que tu es susceptible de te poser.
A la fin de ce quiz , tu auras une vidéo ou je prend le temps de t’expliquer la préparation qui convient le mieux à ton profil / ta situation aujourd’hui
Clique sur le liens https://formation.accoucherfacile.com/quiz
Et à très bientôt petite maman